Nicolas.
On m'emmena à une cellule et on ma plaqua contre les des murs dégueulasses de cette putain de piaule. L'un d'eux prit un malin plaisir à me foutre un coup de poing dans la gueule avant de m'enlever les menottes. Ce coup me sonna quelques instants, ce qui suffit aux deux connards pour sortir. Après avoir retrouvé mes esprits, je frappais contre la porte de la cellule en hurlant toutes les insultes qui me passaient par la tête. Je brûlais de rage.